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Archive pour août 2006

M’as-tu vu ?

Jeudi 31 août 2006

En fait, je n’ai jamais particulièrement menti dans tout ce qui se lit ici. Pourquoi faire d’ailleurs ?

Je n’en dirais pas autant de ce qui s’y voit. Non pas que les images soient absolument mensongères, mais elles donnent une idée de moi bien trop façonnée pour être honnête !

D’accord, j’avoue que je me suis bien amusé à entretenir d’abord ce côté énigmatique et flou de mes représentations. Mais, revers de la médaille, je suis à présent complètement prisonnier de cette fausse image. Je veux dire prisonnier de la virtualité dans laquelle cette image me confine.

Qui a été client de la redoute (ou de dialh) sait bien le contraste entre le petit tee-shirt bien coupé (ou laskardcho28a), et la réalité, sortie du plastique (ou découverte derrière la porte). Il n’aurait jamais fallu que le colis quittât son entrepôt, (ou son studio de la rue de la verrerie). C’est la raison pour laquelle, dans tous les sens du terme, je sens bien que je ne peux plus me livrer. Du moins physiquement.

Ben oui bien sûr, je pourrais tout simplement être franc sur ce à quoi je ressemble, mais c’est au-delà de mes forces. Je n’aime pas assez ma gueule pour aller jusqu’à me l’infliger même là où je ne suis pas obligé de le faire. Mais je l’aime un petit peu quand même — il faut bien, non ? c’est une question de survie — alors j’en montre des bouts, à la loupe, de trois quarts, retouchés, maquillés.

C’est ma petite joaillerie personnelle : je soigne les facettes pour la pierre brille bien, pour que ça tape à l’oeil. Je m’amuse à ça, tout planqué que je suis. Il ne faut pas m’en vouloir, et surtout, bien sûr, il ne faut pas y croire ! :new_color_:

Formidable ! Grandiose ! Dingo !

Mardi 29 août 2006

Mémoires

J’ai enfin terminé ! Au rythme de quelques pages le matin et quelques autres le soir, ça m’a bien sûr pris plusieurs mois, mais comment renoncer cette épopée ? :clapclap:

Je ne sais pas ce qui est le plus remarquable… Bien sûr le style est un peu daté, peut-être un peu ampoulé, et encore, mais tellement subtil, tellement éloquent, tellement tempétueux et en même temps si résigné, comme la nature qui goutte après la pluie. Je ne savais pas exactement ce que voulais dire romantique avant d’avoir lu cela, comme je ne savais pas vraiment ce que voulais dire impressionniste avant d’avoir lu Proust, mais une fois tournée la dernière page de ces oeuvres, on sait exactement qu’il n’y a pas d’autre terme pour mieux les qualifier.

Et puis il y a l’Histoire. Quel autre bonhomme peut faire à ce point coïncider le récit intime de sa vie avec celui d’un bouleversement politique et social si vertigineux ? Les dernières pages sont saisissantes, lorsqu’il rappelle l’état du monde lorsqu’il est né et celui qui va le voir mourir… Lorsqu’il entrevoit aussi ce que ce nouveau monde de progrès techniques et idéologiques va devenir, lui qui grandit dans la rusticité la plus ancien-régime. Lorsqu’il prend conscience, avant beaucoup d’autres et en dépit de sa fidélité à la royauté que la France et l’Europe on franchit un cap qu’elles ne repasseront plus jamais. Ce type est né au soir d’une longue et lourde journée, quelques heures avant l’orage qui devait tout démonter autour de lui. Il a vécu dans la nuit les tentatives de refondation d’un nouvel ordre, au milieu des ruines de l’ancien, puis s’est éteint devant l’aube d’une ère nouvelle… Ah c’est beau ! C’est beau ! C’est grand !

Bref, on a l’impression d’avoir vécu une vie supplémentaire en refermant le dernier tome, et quelle vie !

Sans chemise, sans pantalon

Dimanche 27 août 2006

cho7

Question existentielle : pourquoi les mecs gardent-ils si souvent leurs chaussettes dans les films porno gays ? C’est pratiquement un accessoire obligatoire dans certaines productions, mais un accessoire qui n’est pas exploité, pas forcément mis en valeur, dont la présence n’est pas spécialement scénarisée ni justifiée, mais qui est là, comme la petite musique pourrie et d’autres basiques.

De plus, rien de tout cela dans les pornos hétéros, enfin si mes souvenirs sont fidèles. Ce serait même plutôt considéré comme un détail cocasse voire un oubli fâcheux chez Marc Dorcel…

Alors ? Enfin, dans le fond j’ai bien une vague idée, autour d’un certain fétichisme, quelque chose qui serait peut-être comparable au porte-jarretelles féminin, ou je ne sais quoi d’autre, mais je n’arrive pas à mettre des mots très significatifs dessus et ça m’agace… C’est un concept fuyant…

Y’a-t-il un pédélogue dans la salle ?

On Off

Vendredi 25 août 2006

En deux jours, ce bouton sur le coin de mon nez (et les quelques autres qui se succèdent depuis que nous faisons des travaux) m’ont fait revenir quinze ans en arrière, en me faisant éprouver de nouveau les pires sentiments qui me meurtrissaient quotidiennement pendant ces années.

Aujourd’hui, comme à l’époque, il n’en faut pas plus pour que toute l’assurance tranquille que j’essaie d’afficher se liquéfie. Je me retrouve alors à faire les mêmes gestes de dissimulation, les mêmes trois-quarts, les mêmes inclinaisons de tête complètement anti-naturels. Je retombe dans la même paranoïa qui transforme n’importe quel interlocuteur en dévisageur narquois. Je développe la même asociabilité, le même désir d’endroits isolés, sombres. La même envie de fuir, la même agressivité latente. Je retrouve la même attraction et la même répulsion pour les miroirs, que je recherche pour leur consolation, et que je fuis pour leur sincérité.

Pour toutes ces raisons, mon adolescence boutonneuse fût un cauchemar. De mes vieux amis, aucun ne se rappelle que j’étais spécialement dévisagé, en tout cas pas plus que les autres, ce qui prouve bien que tout n’est qu’un rapport de représentation de soi à soi. En l’occurrence, pour donner une idée de mon désastre intérieur, j’eus quelques fois l’impression d’être Elephant Man. Malheureusement, je n’ai jamais perdu cette foutue peau grasse et capricieuse qui s’amuse de temps à autres à faire gonfler un pore. Avec le temps, j’ai compris que cela arrivait à tout le monde, qu’un bouton se fondait sur l’ensemble du visage et ne clignotait pas comme il me semble le voir faire dans le miroir, et qu’il valait mieux continuer de présenter un visage serein plutôt que de se tortiller dans tous les sens pour dissimuler l’indissimulable.

Mais quand il y en a plus d’un, et, pire du pire, quand l’un se fiche sur cette zone sacrée, ce mont sanctissime, cette région inviolable, ce volcan mythologique qu’est mon nez, je perds toute ma philosophie et je redeviens la proie de mes affres adolescentes. Les plaies ne sont jamais si guéries qu’elles en ont l’air.

Chuuuut…

Jeudi 24 août 2006

…je suis actuellement subrepticement connecté au réseau wifi d’une bonne âme inconnue de l’immeuble qui n’a pas pensé à le sécuriser… Ça me laisse quelques bytes pour expliquer notre mésaventure : la semaine dernière, E. a appelé noos pour demander la résiliation du forfait télé, parce qu’on ne regarde pas trop les chaînes extra-généralistes. Très bien. Et puis mardi matin, plus de Net. E. rapelle Noos et s’entend dire qu’ils ont bien résilié notre abonnement chez eux, comme nous l’avions demandé :roll: Quelle bande d’abrutis…

Ai-je déjà dit tout le mal que je pensais de ces centres d’appel à la con, qui finalement ne servent pas à grand chose sinon à jouer les répondeurs humains, à préciser régulièrement qu’ils ne peuvent rien faire, et à conseiller toujours d’envoyer un courrier recommandé ? La barbe…

Bref, nous sommes privés du cordon vital avec l’univers pour un moment sans doute, le temps que notre recommandé fasse trois fois le tour de la planète. A suivre (sans doute plutôt depuis le taf)…

Quiproquo

Lundi 21 août 2006

Tiens, un bel exemple de hiatus culturel…

Ce matin, stupeur à la Une du Corriere.it : “Stéphanie, da Monaco alla gara trash in tv. E la Francia la premia“, Stéphanie, de Monaco à la compétition trash à la télé. Et la France la récompense. Comment ? Elle aussi ?

Et je l’imagine déjà en Princesse Loana, exhibant sa femelle passivité aux caméras de notre beau pays… Mince alors, elle aura tout fait… D’autant que l’accroche précise que sa seule objection au programme fut la tenue trop moulante qu’elle a refusé de porter… Rolala… Qu’est-ce que c’est que ce programme ? L’île de la Tentation ? Sortez moi de là je suis une altesse ? La ferme principauté ?

Et puis je commence l’article, et je réalise : le programme de trash tv en question, c’est Fort Boyard ! Fort Boyard, honteuse excroissance de télé-réalité orgiaque pour nos amis transalpins :banana: … La tenue sexy en question, c’est donc cette espèce d’accoutrement d’aventurière de chez Décathlon ? Ben voyons*, et le père Fourras, c’est Larry Flynt… Je rêve. C’est Patrice Lafont qui doit se retourner dans sa tombe… (ou Armand Jammot ? Je les confonds toujours :lol: ).

Je ne pense pas que les ritaux soient si prudes qu’ils comparent Fort Boyard à un truc de bitches, il n’y a qu’à voir ce qui passe sur la Rai Uno, je pense plutôt que sous cet angle, le papier était bien plus croustillant.

Moralité…

*Bon d’accord, un peu quand même pour les gros bras d’Olivier Minne…

Swatteur

Dimanche 20 août 2006

J’écris swatteur parce que je ne veux pas me faire googler sur ce mot et ses dérivés… j’ai raconté cette histoire à tant de personnes que j’ai l’impression d’être plus reconnaissable en parlant de cela ici que si je mettais ma tof en gros plan, ou que je donnais le nom de mon ancien canard…

Bref. Donc l’appart que je voulais acheter a été swatté pendant onze mois, ce qui est plutôt extrêmement peu pour ce type d’affaire. Comment ça se passe exactement ? C’est assez simple, et d’ailleurs il y a de multiples réseaux d’aide et de sites Internet qui expliquent tout se qu’il faut savoir pour s’installer tranquillou. En gros, il faut bien repérer les lieux et agir vite. Mon appart à vendre était vide depuis quelques semaines, et la porte n’était fermée que par deux petits verrous de rien du tout. Il suffit donc de péter les verrous, de les changer au plus vite, et de croiser les doigts pendant deux jours. Pendant ces vingt-quatre heures, le swatteur est en situation de flagrant délit, et il peut se faire virer par la police. Il lui faut donc passer ce cap. Ensuite, comment prouver que l’on est là depuis plus de deux jours ? Le plus souvent en justifiant d’une ouverture de compte chez EDF, qui ne demande pas le statut de l’occupant. Parfois, les swatteurs préparent leur coup en mettant un nom sur une des boîtes à lettres de l’entrée pour se faire envoyer du courrier avant même de prendre possession des lieux. Leurs justificatifs sont ainsi déjà prêts.

Une fois la preuve faite des vingt quatre heures d’occupation des lieux, s’il n’y a plus de traces d’effraction, le swatteur a les mêmes droits qu’un locataire qui ne paye pas son loyer, c’est-à-dire qu’il est avant tout chez lui.

Ça veut dire quoi ? Ça veut dire qu’à partir de ce moment, si le propriétaire voulait faire ouvrir la porte par un serrurier, il serait en situation d’infraction et de violation de domicile, et le swatteur pourrait appeler les flics pour interpeller le proprio, qui pourrait être condamné à une amende, par exemple, pour remettre la porte en l’état et qui devrait dans tous les cas restituer les lieux au swatteur, tout à fait dans son droit.

En fait, cette situation ouvre la voie à des situations tellement ubuesques que j’aurais eu du mal à les croire si on ne me les avait pas racontées. En ce qui me concerne, j’ai été préservé de ces situations puisque, in extremis, j’ai ajourné la signature. Cela ne m’a pas empêché, pour me faire un peu peur, d’imaginer ce qui aurait pu se passer ce 21 octobre 2005.

Je signe pour l’appart, et j’arrive tout pimpant devant ma porte. Les clés ne fonctionnent pas. Je rappelle le propriétaire qui m’envoie, par exemple, le serrurier de la copropriété. Il m’ouvre, et je m’aperçois qu’il est habité. Je panique, je décide de faire changer les serrures. Je reviens le soir après m’être renseigné. Le swatteur a pété les nouvelles serrures. Il me menace d’appeler les flics pour effraction de domicile, je ris jaune mais je lui abandonne quand même les lieux. Je me renseigne à nouveau, et j’apprends qu’effectivement je suis fautif d’avoir forcé la porte, et qu’il vaut mieux que je n’insiste pas. Soit. Le préavis pour l’appartement que j’occupe expire le 31 octobre. E. et moi avons 10 jours pour trouver un nouvel appart à habiter, sachant que dans le même temps, le remboursement de mon crédit est lancé. Bien sûr, je peux me retourner contre le vendeur, qui me vendait un bien censé être libre, mais cela n’empêche pas le fait que l’appartement est occupé. J’entreprends les démarches en justice. Je m’aperçois que le swatteur que je croyais seul est en fait accompagné de plusieurs autres, dont une femme et deux enfants. Et là c’est fini. Je suis à peu près sûr que je ne récupèrerais pas l’appart que je continue de payer d’ici au moins trois à quatre ans, s’il n’y a pas eu d’ici là un incendie ou une inondation.

C’est ce qui aurait pu se passer. C’est ce qui se passe plus souvent qu’on ne le pense. C’est juste assez peu médiatisé, puisque les propriétaires sont avant tout de gros pourris de capitalistes qui pensent qu’à leur pognon.

Heureusement, je n’ai pas signé, et le type était seul dans ces quarante mètres carrés, ce qui facilite les décisions d’expulsion. En gros, entre le moment où l’huissier constate l’occupation sans droit ni titre, la justice met trois mois à prononcer l’expulsion. Ensuite le swatteur a deux mois pour partir de lui-même (sic), ensuite il faut faire une demande d’assistance de la force publique qui a deux mois pour se prononcer, et une fois que la préfecture de police a donné son accord, il faut encore quelques semaines pour fixer un rendez-vous. Le swatteur a enfin un mois pour récupérer ses affaires que le propriétaire doit garder à sa disposition. Donc, si on se débrouille bien, on peut passer une année à peu près pénard dans son swatt. Sauf si on tombe sur des propriétaires un peu moins scrupuleux qui engagent des gros bras pour faire le vide…

En ce qui me concerne, j’aurais pu également reprendre mes billes et chercher un autre appart. Mais la fierté, que voulez-vous… la rancune… l’amertume. Je n’ai pas voulu lâcher l’affaire, qui, en outre, était une bonne affaire. J’en ai bavé, j’ai vécu des moments de découragement assez pénibles, j’ai même développé une phobie des magasins de bricolages, de décoration ainsi que de tous les magazines télé comme Intérieurs ou Question maison !

En juin dernier, à la fin du délai dont dispose la préfecture de police pour se prononcer, et sans nouvelle de leur part, j’appelai mon avocat pour lui dire que je laissais tout tomber, et que j’attaquais tout le monde pour le préjudice d’une promesse de vente rendue impossible à conclure. Mon avocat m’a quand même persuadé d’appeler moi-même la préfecture, pour savoir s’il n’y avait vraiment rien à faire. Et là, surprise ! L’autorisation avait été donnée depuis deux semaines, mais l’ordre n’était pas encore arrivé chez l’huissier ! Et voilà comment, deux mois plus tard, je peux récurer ma tomette avec la joie d’un gosse à qui on a rendu le jouet dont on l’avait privé.

Bref, voilà un autre aspect des histoires de swattages. Il y a parfois un côté gentiment anar ou libertaire derrière ces exactions, il y a parfois de vrais drames humanitaires. Mais il y a aussi ces situations où des types se servent simplement sur la bête et exploitent les failles de la législation, puisque c’est aussi simple.

Et j’avoue que plusieurs fois mon humanisme a vacillé.

… perseverare diabolicum

Samedi 19 août 2006

Ça y est, j’ai acheté mon appart’, jeudi après-midi. :bis:

Je n’étais sans doute pas dans le même état d’esprit que ceux qui se trouvent devant le notaire pour la première fois, à se demander s’ils n’ont pas fait une bêtise, en étant tout excités à l’idée d’aller bientôt faire jouer leur very private serrure.

Non, non, non. J’étais simplement soulagé d’en finir après onze mois de péripéties, et j’ai croisé les doigts jusqu’à la dernière signature de la dernière annexe de la dernière sous-partie de l’acte, pour ne pas qu’il me tombe sur la gueule une énième tuile :xdevil: …

Donc voilà, je possède à présent (enfin, à crédit sur 25 ans) quelques mètres carrés à Paris, dont il faut maintenant que j’aille récurer la tomette.

Mais je reviendrais sur tout cela dès que j’aurais cinq minutes, là il faut qu’on y aille :banana:

Crevé

Mercredi 16 août 2006

Ah non, là je suis vraiment trop naze…

Pas le courage de parler de ces quatre jours dans cette maison de famille (pas la mienne) perdue dans l’Est, trop fatigué pour évoquer ces draches en série, la cheminée qui a pris feu, les pompiers de 65 ans, la fosse sceptique boudeuse, et ce moment de solitude qui a duré des heures pendant lesquelles j’essayai de faire disparaître à coups de chasse d’eau et de re-chasse d’eau ce dont mon corps s’était lourdement délesté.

Ces jours à utiliser la vieille cabane au fond du jardin que l’on croyait appartenir définitivement au folklore, sans même plus de porte pour jeter un voile pudique entre son intimité et l’immensité de la campagne humide, avant que n’arrive, enfin, le camion vidangeur de fosse, accueilli comme les FFI par nos intestins de résistants et une averse de grêle à tout rompre.

Sinon j’aurais aussi parlé des méchouis, du mouton et du cochon à embrocher de la gueule au cul et des heures à entretenir le foyer en bouffant de la fumée et des cendres. J’aurais sans doute évoqué aussi ma tentative de fendre des bûches, qui m’a valu une bonne demi-heure d’acharnement à la masse sur un con de bout de bois hérissé de coins, tentative qui a mis mon honneur sur la brêche et mes vertèbres par la même occasion… Ah ! Mais le plaisir aussi de partager entre amis d’enfance le gigot juste tiré des flammes, en buvant le rouge et tout ce qui traîne, en s’amusant bêtement à rechercher des réplique de la Grande bouffe et d’être ensemble ! J’aurais pu aussi en parler un peu…

Mais non, :nono: je suis trop fatigué… Bizarre…

Entrefaites

Vendredi 11 août 2006

Tiens, c’est bizarre… Quand on tape “dynastie” dans Google (oui bon, je sais… Mais la musique m’est revenue en tête tout à coup, et j’ai eu furieusement envie de revoir la coiffure en doubles rideaux de Krystel), il y a une présentation des résultats assez originale :

Trois liens qui vont bien, et puis “tiens pendant que vous y êtes, vous êtes sûr que vous ne voulez pas jeter un oeil aux fastes de la dynastie belge ?”, et puis en bas, au cas où l’on ait pas été séduit, on vous remet des liens qui vont bien. C’est n’importe quoi ! Et ça gagne des milliards… j’te jure…

(Voir la capture d’écran : )

Cliquez

Bon, enfin sinon, elle a vraiment une coiffure en doubles rideaux, cette brave Krystel, (et un prénom à la con).

Dynastie

Sur ces entrefaites, et après avoir fait part de cette découverte bouleversante, je me barre en week-end flotteux.