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Archive pour octobre 2007

Pandémie

Mercredi 31 octobre 2007

Horreur ! Cette fois c’est Chondre qui est passé en page 403 ! :shock:

C’est pas possible ! Y’a un complot !

Free me pousse vers la sortie

Mardi 30 octobre 2007

En fait c’est une drôle de coïncidence : juste au moment où je me pose des questions sur l’avenir de mon blog, et que je le laisse en jachère pendant quinze jours, free suspend mon compte pour une vague histoire de base de données saturée de spam.

En plus, c’est façon-free, c’est-à-dire démerde toi pour comprendre ce qui se passe, et comment régler le problème, et croise les doigts pour que ça marche. La première suspension dure 24 heures minimum. Je croyais avoir réglé le souci en purgeant ma base d’anti-spams. Mais non, et donc re-sanction surprise, cette fois pour 72 heures. J’ai encore purgé quelques bases, j’espère que ça venait de là. Car il n’y a plus de joker, la troisième suspension est définitive.

Tout cela pour dire que si ça repasse en page 403, et bien s’en sera fini, la faute à free.

Et si ça tient, alors j’essaierai de prendre le temps de dire pourquoi ça va certainement se finir, la faute à moi.

Standing

Vendredi 26 octobre 2007

Purée… je vais quand même pas m’arrêter sur le hit parade des mormons… ça peut pas être ça mon dernier post, merde ! J’ai pas pondu tout un tas de trucs tordus sur la vie, l’amour, la mort pour finir sur une galerie cliquable façon front page 1999…

Faut que je creuse…

Le hit-parade des mormons

Jeudi 11 octobre 2007

Alors ? Qui ont été les Mormons les plus cliqués ? mmm ?

Faisons comme pour les Miss France, commençons par la fin :

Celui qui n’a pas intéressé grand monde fut JD, en queue de peloton avec Shane.

Viennent ensuite ex-aequo Dustin et Casey.

Enfin, James, qui fut longtemps en première position a été détrôné récemment par Brandon, qui gagne le concours du mormon le plus cliqué.

Bon, ça recoupe aussi l’ordre de la galerie, donc c’est peut-être un peu biaisé. Eh oh, j’allais pas appeler un huissier, non plus.

Bravo aux heureux gagnants ! :pompom: :pompom: :pompom: :pompom: :pompom:

Nouvoboulo

Mercredi 10 octobre 2007

Qu’est-ce que je peux dire ? Troisième jour aujourd’hui dans ma nouvelle boîte.

Je prépare déjà une entrevue prochaine avec mon nouveau boss pour lui dire que le poste me paraît largement sous-dimensionné, et qu’il va falloir réajuster le tir, sinon on en finit tout de suite.

De rage, j’ai envoyé une petite lettre de motiv ce matin même.

Pathologique ? Qui a dit pathologique ? :shock:

La position des missionnaires

Dimanche 7 octobre 2007

Couv Candides, les mormons ? Pas tant que ça ! Ils ont l’air d’être assez conscients de leur petit côté sexy, eux les arpenteurs de rues à l’allure mélangée, faite de traits juvéniles et de carrures solides, de raies sur le côté et de chemises blanches enveloppant tant bien que mal toute l’étendue de leurs gros muscles made in america… arf…

Du coup, ils ont craqué, et décidé eux aussi de se mettre au calendrier apollonien : intitulé Mormons Exposed (plus d’infos sur http://mormonsexposed.com, notez la fine allusion dans l’URL), ce calendrier présente quelques spécimen qui ont ôté la fameuse chemise.

Bon, tout n’est pas du premier choix, mais ça a quand même un petit côté fantasmatique. En voici quelques uns :

(cliquez pour la version shirtless)

Brandon :
Cliquez

Casey :
Cliquez

Dustin :
Cliquez

James :
Cliquez

J.D. :
Cliquez

Shane :
Cliquez

Source : Washington Post

Et hop !

Samedi 6 octobre 2007

Et hop ! Hier, j’ai dit au revoir à mon deuxième boulot. On finit par s’y faire, mais ça crée plein d’émotions étranges. Comme lors du pot de départ, où tout le monde m’a vraiment gâté. Décidément, il faut que je me mette dans le crâne qu’on peut bien m’aimer.

Et puis cette impression de s’extraire d’une petite cellule de vies. Au boulot, on avance dans une espèce de barque commune pendant quelques mois ou quelques années, et puis hop ! un beau jour on saute sur le rivage. Et de là on voit la barque continuer son cours, ses lumières, ses visages familiers, cette vie à bord dont on connaissait bien les aspects, tous cela s’en va au loin. Ça serre le cœur, même si on est parti volontairement. Et puis on reste là, prêt à sauter sur un nouveau bateau. Sur ce rivage, on se retrouve seul, avec soi-même et son petit bagage, c’est étrange. C’est une espèce de pause dans le temps, une toute petite parenthèse où l’on retrouve juste sa fonction d’organe détaché du corps social dont il participait. Avant de participer à un autre.

Comme à chaque fois que je vis un moment qui me semble important dans l’histoire de ma vie, j’ai essayé de bien le vivre, en m’imprimant consciencieusement de toutes les émotions. J’ai fermé mon bureau après un dernier coup d’œil, sur l’ordi, sur la vue de l’Arche, sur les armoires grises, sur ce petit théâtre de poche. Puis dernier voyage en ascenseur, dernier passage du portique. Dernier franchissement de la porte vitrée pour arriver sur l’esplanade. J’ai fait un petit tour. Il faisait bon, les haut-parleurs de la fontaine Agam diffusaient du jazz. Sur cette musique qui faisait un bon générique de fin, dernier coup d’œil aux tours, à l’Arc de triomphe, au loin, aux gens. Ces gens dont j’ai suivi le reflux, comme tous les soirs, vers les bouches souterraines. Mais moi je marchais lentement, je flânais, je retrouvais mon statut d’allochtone, d’étranger en ces lieux.

Dernier coup d’œil à la grande arche avant de m’engager sur l’escalator, et hop ! C’est fini.

Maïeutique (2)

Mercredi 3 octobre 2007

Je me suis alors retrouvé devant cette accoucheuse, sous une dizaine de paires d’yeux, dans un silence assez concentré, à tenter tant bien que mal de faire sortir ces noms d’objets. En essayant aussi de contrôler ce qui pourrait bien ressortir de tout cela, pour rester dans les clous de ce que je voulais bien livrer.

Sauf qu’elle était coriace. Même si je prenais le temps qu’il fallait pour répondre à ses questions, si bien que nos échanges ressemblaient à une partie d’échecs, les paires d’yeux posées sur moi me forçaient un peu la main, me poussaient sans doute à la faute.

Mat : c’est terminé, voilà ce noyau qui me caractérise, voilà ce qui occupe toute mon intériorité, c’est dit, c’est acté devant témoins, je retourne à ma place.

Bien sûr je gamberge à ce que je viens de dire. Ce n’est pas exactement ce à quoi je m’attendais, mais finalement , en forçant un peu, ça peut rentrer tant bien que mal dans le cadre de ce que j’avais laissé entendre depuis le début du stage : incertitudes professionnelles, difficultés d’engagement. Pas de quoi en faire un plat.

Enfin, je me surprends quand même d’avoir dit cela.

Et puis le lendemain, c’est le dénouement. La graphie ambigüe d’un mot sur laquelle se pâme la formatrice, quelques titres de bouquins qu’elle me glisse, et puis, au cours du déjeuner, une participante qui me félicite pour le « moment très fort » de l’exercice de la veille, et ce que j’avais bien voulu laisser sortir. Une autre qui confirme.

Ouh la la… c’est le syndrôme des rideaux roses : tout le monde semble avoir compris ce que je ne comprends pas. Je n’aime pas ça ! Ça va, ça va, oui, bien sûr, le coup de la mauvaise orthographe c’est un vieux truc de psy, oui bien sûr j’ai eu quelques problèmes avec mon père, mais pour l’exercice de la veille, ce n’est pas si dur de faire un lien logique entre quelques mots pour en faire sortir l’essentiel. Pas de ma faute si vous n’y arrivez pas, bande de nazes.

Ce n’est que le soir que j’ai fait le rapprochement. En fait, c’est un peu comme pour les rideaux roses. Je m’étais dévoilé publiquement sans même m’en rendre compte. Tout le monde m’avait vu à poil, l’accoucheuse la première, sauf moi.

Et, de même que le rose n’avais laissé de doute à personne sur ce que j’étais, de même les quelques mots de la veille n’avaient laissé aucune ambigüité sur cette douleur de gosse, intime, profonde, et vieille de trente ans : l’absence dévorante et le manque perpétuel d’un père.

Maïeutique (1)

Mardi 2 octobre 2007

Disons que je ne pensais pas que ce stage aurait de telles répercussions sur moi. Car les sous-munitions n’en finissent pas d’éclater. Une par-ci, une par-là, depuis une semaine.

Au départ, je voulais faire cette formation pour occuper mon préavis, solder mes droits au DIF, ne pas faire de cadeau à ma direction et si possible, au passage, la faire un peu bisquer. Ce qui n’a pas manqué d’ailleurs. Alors j’ai choisi ce stage sur l’estime de soi. Une bonne occasion de fouiller un peu ce concept qui me titille depuis longtemps, sans avoir vraiment d’explications à donner à ma hiérarchie, puisque je me barre.

J’y suis donc allé pour voir. En garçon lettré, j’avais un peu préparé mon argumentaire, pour ne pas être pris de court lorsque le formateur, en l’occurrence la formatrice, me demanderait les raisons de ma participation. Des arguments sincères, mais du genre convenu, rien qui ne dévoile trop de terrain à creuser. Le premier jour, j’ai donc consciencieusement joué le jeu, en rapportant tous les résultats des exercices à ces petits tracas que j’avais bien voulu dévoiler, en faisant bien attention de rester dans les clous.

Mais le lendemain, il y eu cet exercice qui consistait à trouver ce qui nous caractérisait très intimement, en citant sans trop réfléchir des objets qui pourraient nous définir, puis en tentant de trouver quels points communs rassemblent ces objets. Je la fais court. Un exercice à faire deux par deux, mais comme nous étions un nombre impair, la formatrice proposa de commencer avec l’un d’entre nous, en l’occurrence moi, dans le but également de montrer à tout le monde comment ça se passait.

Vu à la télé

Lundi 1 octobre 2007

C’est dingue que Pujadas en soit encore à sortir des “… pallier aux absences…”.

Mince ! Le pallier transitif, ça fait partie du BA-ba !