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Je me dis

Je me dis : pourquoi vouloir si vite, si nécessairement retrouver un garçon et tout reprendre à zéro, et même à 100 à l’heure pour rattraper le retard pris ? C’est absurde. Je me dis : ton histoire, tu l’as eue, ta belle histoire, tes belles amours. Pour certains ça dure dix ans, vingt ans, une vie. Pour toi, ce fut quatre ans. Quatre belles années, pleines, sans heurts. Les projets ensemble, les petits week-ends, les croissants au lit, l’amour sur la machine à laver…

Je me dis : il est peut-être temps d’avoir envie d’autre chose, de pratiquer autre chose, au moins pour un instant. Je me dis : il vaut peut-être mieux danser sur les cendres de tout cela. Je me dis : profite. Enfin, essaie de profiter.

7 commentaires pour “Je me dis”

  1. les tamaris dit :

    toi aussi tu veux te lancer dans l’élevage de cousins machins ?

    on s’en lasse tu sais…

  2. snèv dit :

    ah non ! je ne pensais pas qu’au cul, mais plutôt simplement à vivre un peu pour soi, savourer l’instant au lieu de repartir en croisade en considérant que rien ne vaut d’être vécu si on n’est pas deux… C’est ça danser sur les cendres…

  3. fcrank dit :

    je suis content de te lire de nouveau, même si c’est plus douloureux.

  4. chondre dit :

    Tu devrais aspirer les cendres, nettoyer la cuisine, changer de machine à laver et profiter de chaque jour sans te poser la moindre question. Les croissants au lit, ça laisse des miettes et des taches de gras.

  5. MarcelD dit :

    Il n’y a pas de petits profits, foncez jeune homme :o)

  6. B. dit :

    Bon, ceci dit, nettoie quand même tes semelles: tu va saloper toute l’entrée avec tes cendres! (enfin, bon, moi ce que j’en dis… après tout, c’est TOI qui passera l’aspirateur…) ;-)

  7. Ditom dit :

    Dans sex and the city, Charlotte érigeait en vérité mathématique le fait que se remettre d’une relation prenait la moitié de la durée de cette relation. Foutaise!
    L’important de toute façon c’est que tu te sentes bien dans ce que tu vis. Il n’y a pas de règle. J’en suis la preuve!

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